1 – Les règles du Djahriya et Ikhfatiya s’appliquent :

a) aux prières de Zohr et Asr

b) aux prières de Maghrib et Isha

c) aux 17 rakaats de salat quotidiens

 

2 –

a) Les hommes et les femmes doivent réciter les salat de fajr, Magrib et Isha à voix haute.

b) Seuls les hommes doivent réciter les salat de Fajr, Magrib et Isha à voix haute.

c) Seules les femmes doivent réciter les salat de Fajr, Magrib et Isha à voix haute.

 

3 – Djahriya signifie que :

a) la ou les prière(s) doi(ven)t être récitée(s) à voix haute sauf le Qir’at.

b) la ou les prière(s) doi(ven)t être récitée(s) à voix haute sauf le Tasbihaté Arba.

c) la ou les prière(s) doi(ven)t être entièrement récitée(s) à voix haute.

 

4 – Les femmes doivent réciter à voix basse :

a) les prières de Zohr et Asr

b) la prière de Zohr

c) la prière de Asr

d) toutes les prières sans exception

 

5 – Wadjib-e-ayni s’oppose à :

a) wadjib-e-fawri

b) wadjib-e-takhyiri

c) wadjib-e-kifai

 

6 – Wadjib-e-fawri concerne :

a) seulement les hommes

b) seulement les femmes

c) aussi bien les hommes que les femmes

 

7 – wadjib-e-fawri devient obligatoire en conséquence de l’accomplissement :

a) d’un autre wadjibat

b) d’un acte sounnate

c) d’un acte moubah

 

8 – Takhyiri indique que :

a) nous avons le choix

b) nous n’avons pas le choix

c) c’est sounnate

 

9 – Wadjib-e-takhyiri veut dire que :

a) nous pouvons faire soit l’un soit l’autre

b) nous ne pouvons faire ni l’un ni l’autre

c) nous devons faire aussi bien l’un que l’autre

 

10 –    

a) Le ghoussl-e-mayyit est un wadjib-e-kifai tout comme le kafan et le salatoul mayyit

b) Seul le salatoul mayyit est un wadjib-e-kifai

c) Seuls le ghoussl-e-mayyit et le salatoul mayyit sont des wadjib-e-kifai.

 

11 – Celui ou celle qui décide de prendre en charge le(s) wadjib-e-kifai suite à un décès

a) peut s’il le souhaite préciser « wadjib-e-kifai » dans son niyyat.

b) doit absolument préciser « wadjib-e-kifai » dans son niyyat.

c) devrait préciser « wadjib-e-kifai » dans son niyyat.

 

12 – Si je dis « salamoun alaykoum » à une assemblée,

a) il est wadjib à chacun de me répondre

b) il est wadjib à l’un d’entre eux de me répondre

c) il est sounnate à l’un d’entre eux de me répondre

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