Ayatullah Dast Ghayb a dit que même si vous avez beaucoup de péchés, liez-vous d’amitié avec Imam Hussain (as) en venant à son majaliss.

Imam Ali (as) a dit : « Prenez des leçons de ce qui s’est passé entre Allah (swt) et Shaytan. »

Toutes ces années d’adorations ont été anéanties en une heure, pour une seule action qu’il n’a pas voulu faire. C’est un défaut pour lequel Ibliss a été banni de la Miséricorde d’Allah (swt). Si vous désobéissez de cette même manière, si vous avez ce même défaut, pensez-vous qu’Il vous épargnera ?

Ayatullah Dast Ghayb a dit : « Si vous voulez éloigner l’arrogance et l’orgueil de votre cœur, pensez à vos origines. À votre commencement, vous étiez une chose impure et vous êtes entourés de choses impures. »

Réfléchissez, pensez-vous que ce que nous mangeons et ce que nous buvons sont totalement purs ?

Imam Raza (as) a dit « L’enfant qui ne boit pas le lait de sa mère jusqu’à l’âge de deux ans éprouve de la souffrance. » La science a prouvé que c’est souvent ce qui cause le cancer du sein chez les femmes.

Ayatullah Dast ghayb a écrit qu’un homme qui s’appelait Ayaaz était devenu très proche de Mahmoud Ghaznavi. Ayaaz était un simple homme et était très respecté par le Roi Mahmoud.

Des hommes sont venus voir le roi et lui ont dit :

–     Ayaaz part tous les jours dans une chambre, il s’enferme et s’assied seul à l’intérieur. Il vole vos richesses et les rassemble pour lever une armée contre vous !

Le roi a tout de suite commencé à avoir des doutes et leur a dit :

–     Allez chez lui et rapportez tout ce que vous trouverez, même les documents.

Ils y sont allés et n’ont rien trouvé à part une vieille paire de chaussures et un vieux tsadar. Ils ont fouillé toute sa chambre et ont rapporté ce qu’ils ont trouvé. Le roi a demandé à Ayaaz :

–     Ô Ayaz, j’ai appris que tu as beaucoup d’argent, que tu voles mes richesses pour monter un complot contre moi. Où caches-tu toutes ces choses ?

Ayaaz a répondu :

–     Les voilà. Avant de venir chez vous, j’étais quelqu’un de pauvre et de simple. Je n’avais même pas de quoi manger. Je portais ce tsaadar et ces chaussures. Dès que j’ai un peu de temps, je vais m’enfermer dans ma chambre en face de mes chaussures et de mon tsadar et je m’assoie. Je me rappelle de qui j’étais avant et qui je risque de redevenir si un jour vous décidez de ne plus me garder avec vous.