En tant que membre de la communauté Shia ithna Asheri, nous sommes chanceux ! Nous avons un passé et un futur…un passé et un futur qui est Karbala. De cette tragédie, nous puisons notre inspiration dans l’attente de l’Imam-e-Zamana. ​
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Notre présent nous donne une idée de notre futur, si nous encourageons le bien et décourageons le mal, notre futur sera brillant. Dans le cas contraire, il faut se poser des questions.​
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Nous devons rester actifs, faire des actions qui améliorent la communauté. Si la communauté stagne, notre futur sera sombre.​

Nous ne devons pas attendre l’Imam les bras croisés ! Notre majaliss est une université, cela fait partie de notre culture d’être assis sur le Farsh-e-Aza et d’écouter le majaliss que livre un aalim sur le mimbar.​

Le but de venir aux majaliss est d’écouter les sermons, d’appliquer ce qui a été dit et d’apporter un changement. Que nous ne restons pas les mêmes ! À chaque khoushiali, nous devons voir un changement en nous.​
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Pour chaque Ziyarat des Imams, nous nous levons. Mais pourquoi pour la ziyarat de l’Imam Zamana, nous baissons la tête et posons une main au dessus de notre tête. Par respect ? Alors pourquoi ne faisons-nous pas de même pour le Saint Prophète (saw) ou Imam Ali (as) ?  Car il nous a été dit de faire ainsi, alors nous faisons ainsi.​

Le fait de baisser la tête veut dire que nous sommes prêts pour son arrivée.​
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Nos ennemis œuvrent plus pour l’arrivée de Imam que nous ! Nous lisons des Duas mais restons passifs en attendant que notre situation s’améliore une fois son arrivée.​

Dans un hadith, nous trouvons que quand Imam arrivera, nous verrons son arrivée dans la paume de notre main. Ce hadith date d’il y a 1000 ans. Les gens pensaient que ce sera un miracle ! Mais regardons de nos jours, nous voyons tous les live des majaliss sur la paume de notre main dans notre smartphone. ​

Les japonais ont rendu cela possible en créant les smartphone et la tablette, alors que nous somme restés sur la notion de miracle et attendons passivement et ensuite, nous disons à Imam que nous l’attendons et nous lui demandons de venir ?​

Un poète a dit : « Ô toi le croyant, à force de te prosterner, tu as laissé une marque sur ton front, mais prosterne-toi d’une telle façon à ce que tu laisses ta marque sur Terre ! »​
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