Majalis de Mouliani Neelam Vakil, 12 Safar 1439 Jeudi 2 novembre 2017

Si vous êtes en difficulté, si vous avez une question dont vous ne trouvez pas de réponse, ouvrez le Saint Qour’an et vous trouverez la solution à votre problème, la réponse à votre question.

Un marja-e-Taqleed dit que si vous avez une maladie, avant de dormir, faites le niyyat et lisez 100 différents versets du Qour’an (n’importe quels versets). Et faites ceci tous les soirs.

Imam Ali (as) dit à un homme qu’il a veillé la nuit, qu’il a fait des ibadats et qu’il a fait son zikr (le zikr d’Imam). L’homme n’était pas un partisan d’Imam (as) et c’est pour cela qu’il a dit : « C’est vrai que j’ai veillé et fait lbadats mais je n’ai pas prononcé votre nom une seule fois ! » Imam (as) lui dit : « Tu as lu la Sourate Naba, n’est-ce pas ? C’est moi dont on parle dans cette Sourate. Il y a 300 de mes Noms dans le Qour’an. »

Si Allah swt utilisait le nom ‘Ali’ dans le Qour’an, les musulmans auraient dit que lire le Qour’an est bid’at ! D’ailleurs, Yazid a essayé de supprimer le Qour’an. C’est pour cela que la tête sacrée d’Imam Houssain (as) récitait le Qour’an pour rappeler aux gens le lien étroit entre le Livre d’Allah swt et les Ahloul Bayt (as).  La nuit d’Ashoura, les partisans d’Imam Houssain (as) passaient leur nuit à réciter le Qour’an.

Quand vous perdez une chose, faites un vœu que vous ferez le Hadio de la Sourate Rahman à Bibi Fatema Massouma (ahs).

Nous faisons souvent des minnat divers, faites également des minnat tels que « Je réciterai telle Sourate » ou « J’enseignerai le Qour’an à une personne » ou « J’apprendrai le tajvid ».

Le jour d’Ashoura, Bibi Sakina (ahs) est très inquiète, elle vient dans la tente de H. Abbas (as) et elle dit à Oumme Lababa : « Je voudrais dire à mon oncle H. Abbas d’emmener même une goutte d’eau pour sauver mon frère Ali Asghar. J’ai peur qu’il meure, tellement il est assoiffé. »

Oumme Lababa ne sait pas comment renvoyer Bibi Sakina (ahs). Elle ouvre le Qour’an. Elle sait que si Oumme Lababa ouvre le Qour’an et le récite, Bibi Sakina (ahs) ne va pas la déranger par honneur du Qour’an. En effet, parler d’autre chose pendant que le Qour’an est ouvert est un manque de respect pour le Livre d’Allah swt. Par respect, Bibi Sakina (ahs) attend à l’entrée de la tente car elle ne peut pas entrer dans la tente sans permission.

Un homme dit au Prophète (saw) qu’il a vu un homme entrer dans une pièce, puis il a vu une femme entrer dans la même pièce. Il dit : « J’ai fermé la porte pour les bloquer et pour que vous les punissiez. » Le Prophète (saw) demande aux gens : « Qui peut aller les punir ? Qui n’a jamais commis ce péché ? » Personne ne s’avance. Finalement, Imam Ali (as) se porte candidat.

Quand il revient, Imam Ali (as) explique ce qu’il a fait : « J’ai ouvert la porte en fermant les yeux. Et je leur ai dit, sans les regarder, de s’en aller. Ils sont partis. Et je ne sais pas qui c’étaient. » Notre Saint-Prophète (saw) déclare : « C’est exactement ce que j’attendais de vous ! Bravo ! »

Si Allah swt est Sataral ouyoub, s’Il cache nos défauts, comment pouvons-nous révéler les défauts des autres ? Et que savons-nous ? Peut-être qu’ils se sont retrouvés pour parler. Peut-être qu’ils sont frère et sœur, peut-être qu’ils sont cousins, peut-être qu’ils ont un problème à résoudre. »

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Date

24 décembre 2019