Majalis de Mouliani Bashira Banou Vazir 8 Muharram 1439 – Vendredi 29 septembre 2017

Ayatoullah Sha’abadi, l’enseignant d’mam Khomeini recommande la récitation des 7 derniers versets de la Sourate Hashr (n° 59) avant le namaz Fajr, Ce aamaal permettra de :
– avoir de bons akhlaqs
– augmenter le rizq
– accroître la beauté (de la femme)

Vous connaissez également le Doua-e-Makarimoul Akhlaq.

Notre Saint-Prophète saw dit : « Je crains pour ma Oummah ce qui a détruit les communautés des Prophètes précédents :
– répondre aux désirs de son nafs
– garder de longs espoirs, être trop ambitieux »

Pour expliquer ses propos, le Prophète dessine un carré avec un point au milieu puis des lignes dont certaines dépassent le carré. Il explique : « Le carré est ce monde ; le point est l’être humain et les lignes sont vos désirs et espoirs. Certains d’entre eux sont si longs qu’ils dépassent le carré. »

Imam (as) dit : « Le serviteur de Dieu considère que ses biens ne lui appartiennent pas. Il ne fait pas son programme (plan) car il sait que seul le plan d’Allah sera exécuté. Il est concentré à Dieu lors des actes wadjibs. »

Ayatoullah Behjat faisait tout dans l’anonymat. Quand on lui a demandé un tawzi, il finit par écrire un tawzi mais il ne mit pas son nom dessus.

Une dame vient demander de l’aide chez Abdul Karim-e-Haeri en pleine nuit. Le servant ouvre la porte et la renvoie en disant que son maître est encore plus en difficulté et qu’il est en train de dormir. Il neige tellement ; les chemins sont bloqués. Ayatoullah apprend que son servant a renvoyé la dame ; il lui demande de l’emmener chez la dame ; il l’aide.

Mansour-e-Dawanaqi raconte qu’il avait l’habitude de réciter des louanges d’Imam (as) et les gens lui donnaient de l’argent et c’est grâce à Imam (as) qu’il gagnait sa vie. Mais quand il a eu le pouvoir, il est devenu l’ennemi d’Ali (as).

Une dame est si généreuse qu’elle a l’habitude d’offrir au nom d’Ali (as). Un jour, quand un mendiant se présente à sa porte et demande au nom d’Ali (as), elle n’a rien à lui donner. Aussi, elle ôte ses boucles d’oreilles et lui en fait cadeau. Son mari, qui est ennemi des Ahloul Bayt (as), arrive et voit la scène. Il est si furieux qu’il lui coupe ses mains, lui donne le talaq et la renvoie de la maison.

La dame ne sait pas où aller ; elle demande abri à un pesh imam. Ce dernier lui libère une place dans la mosquée. Il lui dit : « Tu es comme ma fille. Reste ici en toute sécurité et je te donnerai à manger. »

Une nuit, un homme reste après les prières. Le lendemain, il demande au pesh imam qui habite à la mosquée ; il dit : « Moi et ma fille » ; il dit qu’il veut épouser sa fille. Le pesh imam précise alors : « elle n’a pas de mains. » l’homme dit qu’il est d’accord de l’épouser quand même. La nuit, il a vu une lumière émaner de sa chambre et s’est rendu compte que ce n’était pas n’importe qui. La nuit du mariage, par le sadqa d’Imam Ali (as), elle retrouve ses mains. Alors que son époux et elle sont assis à table, un homme vient demander au nom d’Ali (as). Quand elle va donner son repas, son ancien mari la reconnaît. Il dit : « Depuis que tu es partie, notre maison a brûlé et j’ai tout perdu ! Maintenant, je mendie au nom d’Ali (as) ! »

Les anges rient à plusieurs occasions. Et une de ces occasions est quand on couvre une femme défunte qui ne portait pas le hijab durant sa vie.

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Orateur

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Date

27 décembre 2019