Majalis de Sheikh Sabir, 3 Ramadhan 1437

Pouvons-nous révéler des problèmes privés ou secrets privés aux autres ? Oui, dans certaines conditions il est bien d’en parler pour pouvoir recevoir de l’aide, des conseils.

Si nous révélons tout ce que nous avons dans notre cœur à Allah (swt), Il nous aidera et certes c’est dans le Rappel d’Allah (swt) que les cœurs retrouvent la paix.

Les docteurs ont dit que ceux qui sont pris d’ennui, doivent se prosterner comme nous nous prosternons pour remercier Allah (swt). En nous prosternant, nos péchés sont pardonnés, nous nous rapprochons d’Allah (swt), nos cœurs retrouvent la paix et en nous prosternant sur de la terre (le mohr), la terre absorbe en elle toutes les tensions que nous avons en nous. 

Quel genre de secret ne faut-il pas dire ? 

Il ne faut pas dévoiler les secrets qui mettent en danger notre vie. Marhoum Hajinaji a écrit 263 signes de l’arrivée d’Imam Zamana (as) dans son livre « Sirat e Aimma ». Parmi les signes il y a : « Ce que les gens se diront entre eux atteindra les oreilles d’autrui. »

Il est conseillé de réciter ce dua 530 fois quand nous rencontrons des difficultés : 


Imam Ja’far Sadiq (as) a dit « Nous sommes la preuve d’Allah (swt) sur chacune de Ses créatures et Sayida Fatima Zahra (ahs) est une preuve sur nous. » 

L’amour que nous avons pour Sayida Fatima Zahra nous servira à 100 étapes, même au moment de l’agonie de la mort.

Avant qu’un Massoumine décède, son successeur est déjà prêt à le remplacer. Dans la vie et dans chaque domaine, la succession est toujours assurée. Mais alors, comment pouvons-nous prétendre que le Messager d’Allah (swt) n’a assigné personne pour le succéder ?

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Date

14 janvier 2020