Les Bani Hashim attendaient la naissance de Janabé Ali Akbar A.S. de la même manière que nous attendons la réapparition d’Imam mahdi A.S.
Depuis le décès de notre Saint-
Au bout de quelques temps, Imam A.S. vit notre Saint-
Quand Janabé Ali Akbar est né, tous les gens de Madina venaient de toutes parts pour féliciter les Ahloul Bayt A.S. Imam Houssain A.S. donnait à chacun un très gros cadeau. En dernier lieu, Sayyida Zainab ahs vint. Imam Houssain A.S. lui demanda comment il pouvait la rendre heureuse. Sayyida Zainab ahs lui demanda de lui donner ce qui lui tient le plus à cœur. Imam Houssain A.S. alla dans la chambre de Janabé Laïla. Malgré l’amour de la maman pour son nouveau-
Au milieu de la nuit, Janabé Laïla voyait une ombre près du berceau de Janabé Ali Akbar. Elle était surprise et demandait : « Qui est-
Ourwa bin Massoud, un compagnon de notre Saint-
Son fils était le père de Janabé Laïla. Janabé Maimouna, la fille d’Abou Soufiyane, était une dame pieuse et était la mère de Janabé Laïla.
Abou Soufiyane était devenu aveugle dans les derniers temps de sa vie. Un jour il était à la mosquée et ne savait pas qu’Imam Ali A.S. était à côté. Quand il entendit le nom du Prophète saw dans l’adhan, il fit un commentaire désagréable.
Un jour, il est allé sur la tombe de Hazrat Hamza. Il piétina la tombe puis dit tout haut : « Hamza, tous vos efforts ont été vains puisque c’est nous qui détenons le pouvoir ! »
Regardez comme Abou Soufiyane était cruel ! Pourtant, Allah swt a décidé que de sa descendance naisse quelqu’un comme Janabé Ali Akbar !
À Karbala, quand Janabé Ali Akbar vient sur le champ de bataille, personne n’ose l’affronter. Tout le monde se demande si notre Saint-
À Madina, Imam Houssain A.S. avait donné la charge de la cuisine à Janabé Ali Akbar. Ce dernier faisait un grand feu afin que tous puissent voir de loin. À cette époque, un feu était le signe d’une maison accueillante offrant l’hospitalité aux voyageurs et aux personnes nécessiteuses. Janabé Ali Akbar préparait de bons plats et servait ses invités, s’assurant que chacun mangeait à sa faim. Il respectait davantage les veuves, les orphelins et les nécessiteux.