Sheick Mukhtar Abbas Vasaya, La philosophie de la salah

Pour notre succès et pour que nous puissions nous rapprocher de Lui, Allah (swt) nous a envoyé cette belle religion à travers Rassouloullah (s). Cette religion est facile. Elle est facile à comprendre et elle est facile à appliquer (actions).
Pour chaque action, il y a deux types de bienfaits :
Des bienfaits pour notre corps et des avantages pour notre âme.
Pour chaque action, notre niyyat (intention) doit être qourbatane illallah, uniquement pour plaire à Allah (swt) mais nous ne devons pas faire quelque chose dans l’objectif d’obtenir ses bienfaits ou ses avantages.

Nous allons parler aujourd’hui du namaz (prière) qui est le pilier de la religion. Dans la Sourah Baqara, Allah (swt) dit : « Wasta’inou bissabri wassalah, prenez de l’aide du sabr et de la salah. »
À ceux qui disent que nous ne devons demander de l’aide à personne d’autre sauf Allah, nous disons que selon le Qour’an, nous pouvons demander de l’aide à quelqu’un d’autre qu’Allah.

Comment tirer profit de notre salah ? Pour obtenir les bienfaits de nos actes d’adoration, il est important d’avoir l’ikhlas, la sincérité, la pureté de l’intention. Le namaz a de nombreux avantages. Par exemple, grâce au namaz, l’homme peut se préserver des gounah-é-kabira, des péchés capitaux. Alhamdoulillah, nous sommes une communauté de namazis. Nous accomplissons notre prière quotidiennement. Allah (swt) dit dans le Saint Qour’an que le namaz nous préserve du fahsha’. Fasha’ correspond à de mauvais actes à cause desquels une personne devient « besharame », elle perd sa modestie, elle perd sa pudeur, elle s’expose, elle intègre les attributs de Shaytane et le namaz nous sauve de ce fahsha’, de tels actes.

Certains d’entre nous prions depuis 20 ou 30 ans, mais nous sommes toujours là où nous étions avant. Les choses qui ne devraient pas figurer dans notre vie étant donné que nous sommes namazis y figurent. Par exemple, j’accomplis le namaz depuis 20-30 ans mais je suis malhonnête, je manque de respect envers mes frères et sœurs, je manque d’amour envers mes frères et sœurs alors que ces choses ne devraient pas figurer dans ma vie. Mais est-ce que j’ai le droit de dire à quelqu’un : « Comme vous continuez à faire de mauvaises choses dont le namaz devrait vous éloigner, abandonnez le namaz ! ». Non ! Continuons à prier et InshaAllah, par le barkate du namaz, nous reviendrons sur les rails.

Certains disent : « Nous faisons l’azadari depuis toutes ces années mais cela ne nous apporte aucun changement ! Nous sommes toujours pareils ! ». Il en est de même pour le namaz, pour le jeûne etc.

Malheureusement, il arrive même parfois que plus nos actes d’adoration augmentent et plus les mauvais actes remplissent notre vie. Si l’azadari ne nous apporte pas l’amour envers Imam Houssayn (a) qu’il est supposé apporter, continuons à faire l’azadari, continuons de dire « Houssayn, Houssayn ». Un jour, par le barkate de ce nom, nous deviendrons de vrais Houssaynis inshaAllah.

Le problème que nous avons est au niveau du Khoulous, la sincérité. Même pour un petit acte comme le woudhou qui ne dure que deux à cinq minutes, nous avons du mal à nous concentrer.

Quand Allah (swt) a créé Nabi Adam (a), Il l’a mis au Paradis et vous savez tous qu’Allah (swt) lui avait ordonné de ne pas s’approcher d’un arbre. Et vous connaissez toute l’histoire. Sous l’influence de Shaytan, Nabi Adam s’est approché de l’arbre et a mangé ce fruit interdit. En apparence, c’était un fruit mais en réalité, c’était le symbole du statut et de la connaissance de Mouhammad (s) et des Alé Mouhammad (a).

Pour tous les descendants d’Adam (s), il est important de faire le woudhou, c-à-d, de se laver le visage et les mains et d’essuyer la tête et les pieds. Pourquoi ? Car Adam (a) s’est servi de ses pieds pour aller vers l’arbre. Ce visage était face à l’arbre et regardait le fruit interdit. C’est avec ses mains qu’Adam (a) a cueilli le fruit. Quand Adam (a) a mangé le fruit, que ses vêtements commençaient à tomber et que les bénédictions divines commençaient à s’éloigner de lui, Adam (a) regrettait énormément et il a fait ce geste de mettre sa main sur la tête en disant : « Que vais-je faire maintenant ? Que vais-je devenir maintenant ? » C’est pour cela que ces parties sont wajib durant le woudhou. C’est cela la philosophie et la signification du woudhou.

Si par naïveté, par ignorance, par l’influence de Shaytan, ou pour toute autre raison, nous commettons un péché, quand nous faisons le woudhou, le plus grand avantage est que grâce à cela, les péchés que nous commettons par notre visage, par nos mains, par nos pieds sont pardonnés.

Nous avons évoqué ici les parties wajib du woudhou. Mais même pour les parties moustahab comme le lavage du nez, le gargarisme de la bouche, le lavage des mains, ces actions-là sont également en lien avec Nabi Adam (a). À chaque fois que Jibra’il (a) venait voir Rassouloullah (s) pour lui révéler un verset du Qour’an, il lui disait régulièrement : « Brossez-vous les dents ». Il répétait tellement cela que Rassouloullah (s) pensait qu’il deviendrait wajib pour sa Oumah (communauté) de se brosser les dents avant chaque namaz. Le gargarisme de la bouche permet de purifier notre bouche car de toute la journée, nous commettons tellement de guibat (médisance), nous disons tellement de choses que nous ne devrions pas dire. Essayons d’inclure cet acte moustahab dans notre woudhou pour que nous puissions nous débarrasser de tous ces péchés que nous avons commis par la bouche.

Au Paradis, il n’y a ni nuit, ni jour. Il n’y a ni été, ni hiver. Il n’y a ni chaleur, ni fraîcheur. Il n’y a pas de sommeil. Il n’y a pas de fatigue. Il n’y a rien de tout cela. InshaAllah, quand nous irons au Paradis, nous allons avoir un corps parfait pour vivre éternellement.

Quand Adam (a) a mangé le fruit, Jibra’il (a) a déposé Adam (a) sur la Terre. Et il lui a dit que c’est ici que vous allez vivre, ainsi que vos descendants et même Shaytan vivra ici. Quelques heures plus tard, la nuit est tombée. Adam (a) n’avait jamais vu la nuit. Quand il a commencé à faire noir, Adam (a) était très angoissé. Il était si angoissé, il était si craintif qu’il n’arrivait même pas à réfléchir à ce qu’il devait faire. Adam (a) a veillé toute la nuit. Adam (a) a pleuré toute la nuit. Il se disait : « Où est-ce que je suis arrivé ? Où est-ce qu’on m’a mis ? » Ensuite, quand l’aube est arrivé, quand petit à petit, la luminosité commençait à venir et que Adam (a) pouvait voir les différentes choses sur la Terre, Adam (a) était heureux. Le soleil commençait à monter et Jibra’il (a) est descendu. Le soleil n’était pas encore levé mais la lumière commençait à apparaître petit à petit, c’était l’heure de fajr-e-sadiq. Adam (a) a dit à Jibra’il : « Où étiez-vous toute la nuit ? J’ai eu si peur ! » Jibra’il a souri et a demandé : « Et comment vous sentez-vous maintenant ? ». Adam (a) a répondu : « Je me sens très bien ». Jibra’il (a) a alors dit : « Allah (swt) vous a ordonné d’accomplir deux rakates de namaz, un rakate car la nuit est partie et un deuxième rakate car la luminosité revient. Adam (a) a accompli deux rakates de namaz et c’est pour cela que les descendants d’Adam (a) font de même au moment du fajr. Pour remercier Allah (swt), Adam (a) a accompli deux rakates de namaz et c’est pour cela que la prière de fajr comprend deux rakates.

Vous connaissez tous Ibrahim dont le titre est Khaliloullah. Il avait un imane (foi) si intense, si solide que même une montagne peut s’écrouler mais son imane ne pouvait pas bouger ! Il était si proche d’Allah (swt) qu’Il l’a nommé comme Son Ami. Vous connaissez tous qu’Allah (swt) lui a donné un ordre très difficile, un ordre très sévère, celui de sacrifier son fils. Et il a reçu cet ordre par l’intermédiaire du rêve. Pendant trois jours, il a vu en rêve qu’il était en train d’égorger son fils. Il en a parlé à son fils. Isma’il (a) ne lui a pas dit : « Mais papa, c’est juste un rêve ! ». Mais il lui a dit : « C’est un ordre d’Allah (swt) ; exécutez-le ».

Vous connaissez toute l’histoire. Ibrahim (a) met un bandeau sur ses yeux. Il attache les mains d’Ismaïl (a) pour qu’il ne se débatte pas. Il aiguise son couteau pour faciliter la tâche. Nabi Ibrahim (a) pose le couteau sur la gorge de Nabi Ismaïl (a). Quel ordre difficile à exécuter ! Mais le couteau ne coupe pas. J’ai lu dans un livre qu’Ibrahim (a) dit au couteau : « Ô couteau, pourquoi tu ne coupes pas la gorge de mon fils ? ». Et le couteau répond : « Qu’est-ce que je peux faire ? Le Seigneur de l’Univers me dit : « Ne coupe pas » tandis que le serviteur d’Allah me dit : « Coupe ».

Quand Ibrahim (a) sent du sang chaud sur ses mains, il comprend qu’il a égorgé son fils. Il enlève le bandeau de ses yeux. Ismaïl (a) est debout en face de lui et c’est un mouton qu’il a égorgé !

Rappelez-vous quand Adam (a) devait désigner un calife, un successeur sur Terre. Pour savoir qui le méritait, il a demandé à ses deux fils, Habil et Qabil de faire un sacrifice au nom d’Allah (swt). Celui dont le sacrifice serait accepté serait le représentant d’Allah (swt) sur Terre. Pour devenir calife, il faut faire des sacrifices. Nous ne pouvons pas devenir calife comme ça même ! Habil et Qabil ont présenté leurs sacrifices. Le sacrifice de Habil a été accepté car il a présenté un mouton en guise de cadeau tandis que Qabil a présenté quelques grains pourris en se disant que ça ne servait à rien. Même pour le sacrifice, il y a besoin de Khoulous (sincérité). Ne nous disons pas que ça c’est trop peu. Ayons la sincérité. C’est ce mouton sur lequel l’éclair est tombé, ce mouton que Habil a donné en sacrifice qui est redescendu pour sauver Ismaïl (a) !

Ibrahim (a) voit que c’est cet animal qui a été égorgé et que son fils est sain et sauf. Une petite tristesse gagne son cœur car il se dit : « Il ne faut pas que je n’acquière pas la proximité d’Allah (swt). » Il entend alors la voix d’Allah qui lui dit : « Ô Ibrahim ! Tu as fait ce qu’il fallait. Tu as agi selon le rêve que tu as vu. Nous t’avons montré un rêve dans lequel tu étais en train d’égorger ton fils et c’est ce que tu as fait ». C’était l’heure de dhouhr. Ibrahim a décidé d’accomplir 4 rakates de namaz. Il a dit : « J’accomplis un rakate parce que j’ai compris que c’était l’ordre d’Allah (swt) par l’intermédiaire du rêve (et non pas un simple rêve), un deuxième rakate parce que j’ai accompli l’ordre d’Allah (swt), un troisième rakate parce qu’Allah (swt) m’a dit que j’ai fait ce qu’il fallait et un quatrième rakate car mon Ismaïl a été sauvé. »

Allah (swt) a envoyé un Prophète à Nainava (Ninive) au Nord de la Mésopotamie. Cela correspond à la ville moderne de Mossoul en Irak. Il s’agit du Prophète Younous (a). Pendant 33 ans, il a invité les gens à l’Islam. Il a essayé de convaincre les gens de croire en Allah (swt) mais au bout de 33 ans de tabligh, seulement deux personnes ont accepté son message. L’un d’entre eux était un savant (alim). Et le second était un grand adorateur (abid).

Younous (a) était déçu car après avoir essayé de convaincre les gens pendant 33 ans, seules deux personnes avaient accepté son message. Il a demandé à ses partisans : « Qu’est-ce-qu’on devrait faire ? ». L’adorateur (abid) a dit : « Demandons à Allah d’envoyer Son châtiment ! ». Mais le savant (alim) a protesté : « Non ! Attendons un peu ! Ils sont ignorants. Ils sont naïfs. » C’est cela la différence entre l’adoration (ibadat) et la connaissance (‘ilm) !

Younous (a) a écouté l’adorateur (abid). Le châtiment d’Allah (swt) devait venir. Le châtiment avait été programmé pour le 15 Shawwal. Younous (a) décide de quitter la ville pour échapper au châtiment divin. Il propose même à ses deux partisans de venir avec lui. L’adorateur plie son tapis de prière (moussalo) et suit Younous (a). Mais le savant (alim) reste dans la ville. Après le départ de Younous (a), le savant rassemble tous les gens de la ville et leur dit qu’il ne reste que quelques temps avant que le châtiment ne vienne. Le peuple lui demande alors :  « Quelle est la solution ? ». Le savant leur conseille de sortir tous de chez eux nus pieds et de faire dou’a. Il leur dit :  « Demandez à Allah (swt) en pleurant ». Allah (swt) aime les pleurs, que ce soient les larmes versées en gham-e-Houssayn ou les larmes versées lorsque nous regrettons d’avoir désobéi au Maître de l’Univers. Le peuple de Younous (as) pleure tant que le châtiment qui est déjà visible ne tombe pas ! Le châtiment qui était prévu n’a pas lieu.

Vous connaissez tous l’histoire. Younous (a) monte sur un bateau qui est sur le point de quitter la ville. Le nom de Younous (a) est tiré au sort par 3 fois. Younous (a) se jette à l’eau et il y a un poisson qui l’attend. Le poisson ouvre la bouche et avale Nabi Younous (a). Allah (swt) lui a révélé : « Récupère mon Prophète mais fais attention, ce n’est pas ta nourriture. Préserve-le ! Garde-le sain et sauf ! ». Younous (a) reste dans le ventre du poisson pendant 40 jours. Younous (a) invoque Allah (swt) dans le ventre du poisson : « La ilaha illa anta soubhanaka inni kountou minaz-zalimine ». Younous (a) invoque les 5 Panjétanes (a) et à ce moment-là, Allah (swt) ordonne au poisson de jeter Younous (a) sur la rive. Si Dieu veut, Il peut garder vivant Son Houjjat dans le ventre d’un poisson. Il n’y a rien d’étonnant que son dernier Houjjat, Imam Mahdi (a), soit toujours vivant sur cette Terre !

Quand le Prophète Younous (a) est arrivé saint et sauf sur la rive, c’était l’heure d’asr. Il y avait beaucoup d’obscurité. Nabi Younous (a) avait rencontré 4 types d’obscurité. Tout d’abord, quand il a quitté son peuple, il était entouré de l’obscurité des péchés. Ensuite, le chemin qu’il a pris pour quitter la ville et échapper au châtiment était obscur. En troisième lieu, l’océan était obscur. Il faisait noir dans les profondeurs de l’océan et enfin, il y avait l’obscurité dans le ventre du poisson. Pour chaque obscurité, Younous (a) accompli un rakate de namaz et c’est pour cela que la prière d’asr comprend quatre rakates.

Vous connaissez tous Nabi Issa (a). Il a pour titre Rouhoullah (l’âme d’Allah). Vous connaissez tous qu’il est né sans père. Imaginez quelqu’un qui naîtrait sans père dans la société d’aujourd’hui ! Combien de rumeurs circuleraient sur cette personne ? Ce serait vraiment problématique. Mais n’en parlons pas de la société de l’époque ! Les gens ont commencé à accuser Bibi Maryam (a). Ils disaient : « Ô Maryam, ni votre père, ni votre mère n’étaient de mauvaises personnes. Vous n’êtes pas mariée. D’où vient cet enfant ? ». Maryam (a) restait silencieuse. Maryam (a) ne disait rien. Et c’est alors qu’Issa (a) a commencé à parler. Si Dieu le veut, même un bébé qui vient de naître peut parler. Si Issa (a) parle dans les bras de Maryam (a), il n’y a rien d’étonnant qu’Ali (a) parle dans les bras de Rassouloullah (s) !

Les gens ont lancé trois accusations sur Issa (a). En premier lieu, concernant sa naissance sans père. Ensuite, on l’a accusé d’être le fils de Dieu. Et enfin, on l’a confondu avec Dieu lui-même. C’était l’heure de Maghrib. Nabi Issa (a) se dit : « Je vais accomplir 3 rakates de namaz : un rakate car l’accusation sur ma mère a disparu (il est devenu apparent qu’Allah (swt) ne peut pas choisir une mauvaise personne en tant que mère d’un de Ses Nabis), un deuxième rakate pour montrer que je ne suis pas le fils de Dieu, je ne suis pas non plus Dieu mais je suis le Messager de Dieu, et un troisième rakate parce que Allah (swt) m’a fait venir dans ce monde par miracle et a fait de Maryam (a) ma mère. »

Allah (swt) a envoyé un Prophète en Égypte à l’époque de Fir’awn. Il s’agit du Prophète Moussa (a). Vous connaissez son histoire. Le Prophète Moussa (a) épouse la fille du Prophète Shouayb (a). Nabi Shouayb lui offre le célèbre bâton en cadeau. Nabi Shouayb (a) décède quelques temps plus tard. Nabi Moussa (a) décide de quitter l’Égypte et se dirige vers Madyan. Lors de ce voyage, il prend avec lui sa femme et ses enfants. Il pense qu’il va arriver avant que la nuit ne tombe. Mais le chemin est long et il ne réussit pas à arriver à temps. La nuit tombe. C’est une nuit obscure d’hiver. Il pleut. Il fait très froid et il n’y a aucune protection. Nabi Moussa (a) commence à s’inquiéter. Il est angoissé. En premier lieu, il s’inquiète pour sa femme. Il se dit :  « J’ai emmené ma femme avec moi. Il ne faut que quelqu’un lui fasse quelque chose ». En deuxième lieu, Nabi Moussa (a) s’inquiète pour ses enfants. Il ne faut pas que quelqu’un les attaque. En troisième lieu, Nabi Moussa (a) pense à son frère Haroun qui est tout seul en Égypte. Il ne faut pas qu’il lui arrive quoi que ce soit. Enfin, Nabi Moussa (a) est inquiet à propos de ce qui va lui arriver à sa destination. Il se dit : « Peut-être que Fir’awn va me tuer ». Nabi Moussa (a) est envahi par ces quatre chagrins.

À ce moment là, il entend la voix d’Allah (swt) qui lui dit : « Ô Moussa, ne chagrine pas ! N’aie pas peur ! Je suis avec toi ! ». Dès qu’il entend cette voix, le chagrin de Nabi Moussa (a) diminue petit à petit dans son cœur. C’est l’heure de isha. Pour remercier Allah (swt) pour la disparition de chacun de ces 4 chagrins, Moussa (a) accomplit 4 rakates de namaz-é-isha.

Combien nous avons de la chance ! Nous pratiquons la sounnah d’Adam (a), d’Ibrahim (a), de Younous (a), de Issa (a) et de Moussa (a) et toutes ces méthodes nous ont été enseignées par notre Saint Prophète Mouhammad (s). Considérons-nous chanceux quand nous accomplissons le namaz !

Source : https://www.youtube.com/live/2iTicvAM8S4?feature=share
Traduit par l’équipe Shia974 ✨

z

Orateur

Date

19 mai 2024