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Shia 974 ( Chiite à l'Ile de la Réunion )

L’IMPORTANCE DE L’AKHLAQ

(Sayed Ammar Nakshawani)



La moralité est un des sujets les plus importants qui puissent exister. C’est un concept universel. Elle fait partie des 3 sciences les plus importantes dans la religion islamique au même titre que la théologie et la jurisprudence[1]. Chaque religion et chaque philosophie ont un composant moral. Tout le monde admet que la moralité est une clé de la réussite.

Dans le monde du travail par exemple, les traits moraux sont très importants chez les collègues. Personne ne souhaite vivre dans une société ou une communauté immorale. Moralité va de pair avec la dignité, le respect, la coopération tandis que l’immoralité est synonyme de vice, d’arrogance et d’un manque de chasteté.

Imam Ali A.S. a dit : « Si quelqu’un n’est pas votre frère en foi, il est votre égal du point de vue de l’Humanité. »

Certains disent que la moralité ne doit pas faire partie de la politique ou de l’économie. Or, l’Islam n’est pas d’accord là-dessus. Selon la religion islamique, la moralité est inséparable des autres domaines. Partout où vous irez, les gens regarderont vos akhlaqs. Quand un jeune homme fait une demande en mariage, la famille de la jeune fille demandera des renseignements sur les akhlaqs de son futur gendre. En effet, s’il est riche, ses biens pourraient s’en aller un jour tandis que s’il a été élevé dans une famille pleine de moralité, ses akhlaqs demeureront avec lui pour toujours.

De la même façon, lorsque vous postulez pour un emploi, votre futur employeur lira avec beaucoup d’intérêt la/les lettre(s) de recommandation ou les références sur le cv que vous lui enverrez. En effet, il pourra savoir si vous êtes l’employé idéal qui est ponctuel et respectueux et qui permettra donc à sa société d’avancer.

De nombreux philosophes ont étudié la moralité, que ce soit Aristote, Freud ou même Dale Carnegie. Aristote disait que si vous voulez construire une communauté morale, chacun de ses membres doit détenir le Savoir et être plein de sagesse. Il explique que ce sont les composants les plus importants. Toutefois, nous voyons que certaines personnes sont savantes mais elles sont également arrogantes. Donc, la théorie d’Aristote est vraie dans un sens mais pas complètement.

Freud disait que si vous voulez construire une communauté pleine de moralité, assurez-vous d’accorder à vos enfants la meilleure éducation dès leur plus jeune âge. Nous sommes d’accord avec cette théorie dans la religion islamique. Freud insistait sur le fait de donner confiance aux enfants. Cependant, l’histoire nous a montré des pères vertueux dont les enfants n’étaient pas nécessairement religieux alors que des personnes cruelles et immorales ont laissé derrière eux des enfants vertueux. Rappelez-vous le cas de Mouawiya, le fils de Yazid, qui avait un amour profond pour les Ahloul Bayt A.S. Pourtant, Yazid a élevé et éduqué son fils depuis sa tendre enfance. Mais il l’a élevé selon sa conception de la moralité.

Notez que la moralité est un concept très relatif. Chacun a sa façon de voir les choses. Par exemple, si vous demandez à une personne dans la rue « Est-ce que vous pensez que le meurtre est quelque chose de mauvais ? » Elle vous répondra que oui. Par contre, si vous lui demandez « Est-ce que le fait de boire de l’alcool est mauvais ? », elle vous répondra : « Eh bien, si vous en buvez en petite quantité, il n’y a pas de mal ». La moralité diffère d’un individu à l’autre, d’une communauté à une autre. La moralité peut changer au fil du temps[2]. Par contre, le système moral islamique n’est pas relatif car il vient directement d’Allah swt.

Par exemple, Dale Carnegie pensait que la moralité dépend de votre statut moral. Il pensait que le seul code de conduite moral est celui qu’on établit pour soi-même.

À la bataille de Siffin, Abou Houraira agit exactement comme cela. Vous vous souvenez que durant cette guerre, Imam Ali A.S. était dans un camp face à Mouawiya. Abou Houraira n’était dans aucun des camps. Il avait l’habitude de dire : « Le salat[3] est agréable avec Ali et la nourriture est bonne avec Mouawiya[4] mais lorsqu’ils s’affrontent, le milieu[5] est meilleur pour Abou Houraira. » Il voulait montrer que sa moralité dépendait de la situation dans laquelle il était. C’est comme les hommes d’affaires qui mentent dans leurs vies professionnelles (quand ils traitent des affaires) et s’abstiennent de mentir à la mosquée. Par exemple, il y a une cinquantaine d’années, l’homosexualité était considérée comme un vice ; aujourd’hui, elle est partout et affecte même les grandes stars du cinéma et de la musique.

Selon l’Islam, la moralité n’est pas relative. Et c’est pour cela que lorsque notre Saint-Prophète saw est venu, il a dit : « J’ai été envoyé afin de parfaire la moralité de l’Humanité » disant par là qu’il a été envoyé par le Seigneur de l’Univers avec un Message d’akhlaq. Rassoulallah a instauré les akhlaqs en mettant en pratique ce qu’il prêchait et en montrant en quoi le Saint-Qouran était un code de conduite. Vous vous souvenez que les ennemis de Mouhammad saw n’acceptaient pas qu’il était le Prophète d’Allah swt mais quand ils allaient en voyage, ils lui confiaient leurs biens ! Pourquoi ? Parce qu’ils savaient pertinemment que Mouhammad saw gardera leurs biens comme la prunelle de leurs yeux. Ils savaient qu’il était un homme de confiance.

Un jour, un homme vint voir notre Saint-Prophète saw et lui dit, en face de tout le monde : « Ya Rassoulallah, je voudrais commettre l’adultère. » Un des compagnons du Prophète était tellement enragé qu’il sortit son épée. Rassoulallah le calma. Il dit ensuite au jeune homme : « Viens marcher avec moi. » En chemin, il lui demanda ce qu’il avait à déclarer. Le jeune homme dit : « Je voudrais commettre le zina. » Notre St-Prophète saw lui dit : « Voudrais-tu que quelqu’un commette l’adultère avec ta mère ? » Il répondit tout de suite par la négative. Rassoulallah lui demanda alors : « Serais-tu content que quelqu’un fasse le zina avec ta sœur ? » Il dit : « Non, ya Rassoulallah ! » Notre Saint-Prophète saw répliqua alors : « Pourquoi veux-tu une loi pour toi et une autre pour les autres ? » Ces paroles de Rassoulallah touchèrent profondément ce jeune homme et lui fit réfléchir sur ses intentions tandis que l’épée qu’avait sorti le compagnon lui avait laissé indifférent.

Le verset 11 de la Sourate 49[6] du Saint-Coran est utilisé pour instaurer la constitution des akhlaqs d’une communauté : « Ô vous qui avez cru! Qu'un groupe ne se raille pas d'un autre groupe: ceux-ci sont peut-être meilleurs qu'eux. Et que des femmes ne se raillent pas d'autres femmes : celles-ci sont peut-être meilleures qu'elles. Ne vous dénigrez pas et ne vous lancez pas mutuellement des sobriquets (injurieux). Quel vilain mot que ‹perversion› lorsqu'on a déjà la foi. » Ce verset se compose de 4 parties. Examinons la première.

À l’époque de notre Saint-Prophète saw, il y avait une tendance tribale. Il y avait beaucoup de préjugés tribaux et religieux et il y avait une forte tendance au racisme. Les Arabes avaient l’habitude d’avoir des esclaves noirs, les Noirs étaient considérés comme des citoyens de classe basse. Certaines tribus étaient considérées comme pauvres et peu éduquées. Notre Saint-Prophète saw, qui voyait qu’il y avait un manque de respect des uns envers les autres, expliqua aux gens que la seule chose qui les différenciait était leur taqwa.

Jouaiber, un des compagnons du Prophète saw, qui était noir, voyait que non seulement les Arabes mais aussi les musulmans ne le respectaient pas. Un jour, Rassoulallah demanda à Jouaiber : « Pourquoi est-ce que tu ne te maries pas ? » Il répondit : « Ya Rassoulallah, qui va m’accepter ? Je n’ai pas de biens et je suis noir. Personne ne voudra de moi. » Notre Prophète saw lui dit : « Je veux que tu ailles voir Ziyad ibne Loubaid. Il est l’un des chefs des Ansars de Madina. Vas le voir et demande lui la main de sa fille et dis lui que ta référence est Rassoulallah. » Jouhaiber exécuta les ordres du Saint-Prophète saw malgré ses réticences. Ziyad l’accueillit à bras ouverts car il venait de la part de Rassoulallah. Quand Jouhaiber fit part de sa proposition, Ziyad s’excusa et lui dit de transmettre ses salutations au Prophète de l’Islam. Au moment où Jouhaiber était sur le point de quitter la maison, Ziyad se dit en lui-même : « S’il vient de la part du Prophète saw, comment puis-je le rejeter de la sorte ? » Il demanda à Jouhaiber de revenir dans la maison. Il lui dit : « Restez ici et je vais aller rendre visite à Rassoulallah. » Lorsque Ziyad ibne Loubaid rencontra le Prophète saw, il lui fit part de sa réticence en raison de la couleur de peau de Jouhaiber. Rassoulallah dit : « Quand je suis venu, j’ai mis fin à toutes ces différences de race et de classe. Les musulmans sont tous frères les uns des autres. J’ai, parmi mes fidèles compagnons, Bilal d’Éthiopie d’un côté et Salman le Perse de l’autre. J’ai Souhaib, le Romain. Je suis venu pour vous montrer que nous sommes tous les enfants d’Adam A.S. » Ces paroles eurent un effet immédiat sur Ziyad. Il retourna chez lui et dit à Jouhaiber : « En ce qui me concerne, je suis d’accord avec votre proposition puisque votre référence est le Prophète en personne. Laissez-moi demander à ma fille. » Elle accepta également. Plus tard, Jouhaiber devint martyr.

Imam Ali A.S. a fait tout son possible pour combattre le racisme. Parmi ses compagnons, il y avait Mayssam-e-Tammar qui était un esclave perse. Quand il fut acheté, personne ne connaissait son vrai nom car il avait changé de nom ; on l’appelait désormais Salim. Imam Ali A.S. le racheta et lui dit : « Comment vas-tu Mayssam ? » Il était étonné car personne ne savait comment il s’appelait. Mayssam et Imam Ali devinrent des amis tellement fidèles qu’Ali A.S. dit à propos de lui qu’il est comme les disciples de Jésus Christ car il avait atteint un rang si élevé en Islam. Il avait le ‘ilmoul ghayb, il savait d’avance ce qui allait se passer. À cette époque-là, les Arabes considéraient les Iraniens comme inférieurs. Un jour Oumme Salma, l’épouse de Rassoulallah, rencontre Mayssam. Elle lui dit : « Savez-vous que Rassoulallah disait toujours à Imam Ali A.S. qu’il ferait connaissance avec vous et que vous deviendrez un de ses plus grands compagnons. » Comme Mayssam était iranien, les Arabes le méprisaient. Un jour, Mayssam-e-Tammar et Habib ibne Mazahir eurent une conversation. Habib dit à Mayssam : « Je vous vois être crucifié tandis que vous louez Amiroul Moeminine. » Mayssam lui dit alors : « Je vois votre corps en morceaux sur la terre de Karbala à côté d’Aba Abdillah. » Imam Ali A.S. avait présenté à Mayssam l’arbre auquel on l’attacherait et le crucifierait. Mayssam allait arroser l’arbre chaque jour. Rappelez-vous comment Ibne Ziyad le tortura et l’exécuta.

Revenons à notre verset. Il fut révélé quand notre Saint-Prophète saw dirigeait le salat. Un homme, du nom de Sabit ibne Kayss, priait derrière Rassoulallah. Il se mettait toujours dans la première ligne. Un jour, il était en retard et quand il essaya d’avancer pour arriver à la 1ère ligne, un homme le bloquait. Sabit était en colère et commença sa prière dans cet état. Alors qu’il priait, il était en train de se dire : « Je finis ce namaz, et cet homme verra ce qu’il verra ! » Dès que la prière était terminée, il menaça l’homme et lui dit : « À quelle tribu appartenait ta mère ? » car il savait que sa mère appartenait à une des tribus arabes réputées comme des plus inférieures. C’est à ce moment précis que ce verset fut révélé au Prophète Mouhammad saw. Notre St-Prophète saw demanda à Sabit : « Que faites-vous là ? Quel genre de question posez-vous à cet homme ? Qu’est-ce que ça peut vous faire de savoir à quelle tribu appartient sa mère ? » Sabit était confus, il présenta ses excuses à l’homme et proposa de lui donner en retour ce qu’il désirait parmi ses biens. L’homme refusa d’avoir quoique ce soit, il dit au Prophète saw : « Je ne veux rien de sa richesse car j’ai peur que ses biens me rendent arrogant ! »

Examinons la seconde partie du verset qui parle des femmes. Comme c’est étrange ! Dans la 1ère partie du verset, Allah swt affirme : « Qu’un groupe de personnes ne blâme pas un autre groupe ! » puis dans la seconde partie, Il dit : « Que des femmes ne se moquent pas d’autres femmes ». Est-ce que les femmes ne font pas partie de l’ensemble des êtres humains dont on parle dans la première partie ? Pourquoi Allah swt différencie-t-Il les femmes ici ? Pourquoi les met-Il à part ? La raison pour laquelle Allah swt sépare les femmes des hommes est qu’elles peuvent construire une nation ou détruire une société. Napoléon avait l’habitude de dire : « Donnez-moi de bonnes mères, je vous donnerai une nation forte. » Le Saint-Qouran montre que si une mère instaure l’akhlaq dans la maison, la communauté sera pleine de moralité. Dans notre culture, nous avons tendance à considérer les femmes comme des personnes qui doivent rester au foyer. Malheureusement, quand une femme s’ennuie chez elle, elle risque de passer des heures au téléphone à faire des commérages. Il est important que nous mettions en place des programmes pour les femmes dans nos communautés. Quand Zoulaykha se comporta mal envers Youssouf A.S. qui étaient les premiers à le savoir ? Les femmes de la communauté ! Cette anecdote montre que lorsque les femmes n’ont rien à faire dans une communauté, elles peuvent détruire cette communauté.

Prenons l’exemple de Sayyida Zainab ahs. Elle n’était pas simplement une femme au foyer. Elle élevait Aun et Mohammad et organisait des cours de Qouran chez elle. Sayyida Zainab ahs nous a montré le rôle de la femme. Elle nous a montré que c’est elles qui forment les futurs leaders de notre communauté.

Dans le Saint-Qouran, nous entendons parler des épouses du Saint-Prophète saw, Aisha et Hafssa. Regardons le verset 1 de la Sourate 66[7] : « Ô Prophète! Pourquoi, en recherchant l'agrément de tes femmes, t'interdis-tu ce qu'Allah t'a rendu licite? Et Allah est Pardonneur, Très Miséricordieux. » Pourquoi ce verset a-t-il été révélé ? Aisha et Hafssa étaient jalouses lorsque le Prophète allait rendre visite à sa femme Zainab, elles décidèrent donc de concocter un plan. Quand Rassoulallah allait chez Zainab, il buvait une boisson à base de miel. Elles décidèrent de se plaindre auprès de lui en disant que son haleine est mauvaise. Quand elles se plaignirent auprès du Prophète, il s’excusa auprès d’elles et leur dit qu’il ne boirait plus cette boisson à base de miel. C’est à ce moment-là que le verset fut révélé. Nous voyons ici ce que les femmes peuvent concocter quand elles n’ont rien à faire.

Voyons la 3ème partie du verset que nous sommes en train d’étudier. Elle parle des gens qui dénigrent les autres. Certaines personnes ont l’habitude de faire des commérages sur les autres : « As-tu entendu ce qu’untel a fait ? As-tu entendu qu’il a agi comme cela ? » etc. Elles répandent toutes sortes de rumeurs. Imam Ali A.S. nous dit de nous méfier de ce genre de personnes car elles vont également dire du mal de nous. L’Islam nous apprend à trouver 70 excuses avant d’accuser quelqu’un. Notre 5ème Imam A.S. nous dit : « Lorsque vous voulez rechercher des fautes chez l’autre, commencez par regarder vos propres défauts. »

La 4ème partie du verset parle des surnoms attribués aux autres. Notre Saint-Prophète saw a beaucoup insisté sur les noms que l’on donnait à ses enfants. Cela fait partie des droits de l’enfant. À son époque, les Arabes donnaient à leurs enfants des noms comme Shaytan, Zaalim, Abdou Shahr[8] etc. Imaginez ! Quand vous portez les noms de personnes vertueuses, vous vous rappelez ces personnes.

Rappelez-vous qu’on accusait Imam Ali A.S. d’avoir donné à ses enfants les noms des 2ème et 3ème califes de l’Islam[9]. Dans la réalité, Oumar se référait au fils de Hazrat Oumme Salama[10]. C’était un guerrier vaillant qui a combattu aux côtés d’Imam Ali A.S. à la bataille de Jamal. Hazrat Ali l’a nommé comme son gouverneur à Bahrein. L’un des grands compagnons d’Imam Ali A.S. s’appelait Ousman ibne Maz’oun. Durant l’époque de la Jaahiliyya, il faisait partie des très rares personnes qui n’ont jamais touché à l’alcool.

Un jour, Mouawiya vit venir Sharik ibne A’awar, ce qui signifie le partenaire du borgne. Mouawiya lui demanda : « Qui t’a donné ce nom ? » L’homme lui dit alors : « Est-ce que vous vous êtes jamais demandé ce que signifie votre nom ? Est-ce que votre mère ne vous a pas expliqué qu’on vous a donné le nom d’une chienne ? Savez-vous que vous aviez un grand-père dont le nom était harb (signifiant guerre) ? » Mouawiya était furieux et chassa cet homme.

Les ennemis des Ahloul Bayt A.S. savaient quel impact un nom pouvait avoir sur la personne et sur la société, c’est pour cela qu’on ordonna à ce qu’aucun enfant ne soit appelé par les noms d’Abou Tourab et de ses enfants[11].


Source : Majaliss de Sayed Ammar Nakshawani, Ramadhan 2007
Traduction réalisée par l’équipe de http://shia974.fr


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[1] Fiqh
[2] D’une époque à l’autre
[3] La prière
[4] Si vous priez en compagnie d’Ali A.S., vous ressentez du plaisir et de la satisfaction intérieurs et lorsque vous mangez aux côtés de Mouawiya, vous vous régalez.
[5] Rester au milieu, ne soutenir aucun des camps en particulier
[6] Sourate Houjourat, les appartements
[7] At-Tahrim, l’interdiction
[8] Le serviteur du Mal
[9] Pour plus de détails, voir la biographie de Hazrat Oummoul Banine par Sayed Ammar Nakshawani
[10] L’épouse de notre St-Prophète saw
[11] En Syrie, à l’époque des Bani Oumayya

 

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